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 La major.absolue des députés Europ demandent la fin d. tests

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Georges Vool

Georges Vool


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Localisation : Wansin (Hannut)
Date d'inscription : 01/12/2006

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MessageSujet: La major.absolue des députés Europ demandent la fin d. tests   La major.absolue des députés Europ demandent la fin d. tests Icon_minitimeVen 26 Oct - 22:42

La majorité absolue des députés européens demandent la fin des tests sur primates

La majorité absolue des députés européens demandent la fin des tests sur
primates
433 députés européens demandent la fin des tests «dits» scientifiques sur
les primates par une déclaration écrite contre leur utilisation comme
modèles biologiques humains.

La major.absolue des députés Europ demandent la fin d. tests Primat11

C’est que nonobstant la grandeur des raisons purement éthiques à l’abandon
d’une telle pratique, les tests sur primates et plus généralement
l’expérimentation animale peuvent être la cause d’effets secondaires
gravissimes pour la santé publique.

Dans un premier temps, 101 députés ont répondu favorablement à la levée des
tests fin avril 2007 ; le 13 juillet, ils étaient 296. Au final, la majorité
absolue des députés siégeant au parlement européen à avoir ratifié la
déclaration est largement dépassée. 433 députés l’ont approuvée ! Au-delà de
la majorité parlementaire, s’établissant à 393 élus européens.
La commission va devoir faire des propositions pour réviser la directive
86/609/CEE concernant la limitation de l’expérimentation animale.

Outre que l’ADN de la plupart des espèces de primates est à 90 % semblable
au nôtre et justifie notamment, pour des raisons éthiques évidentes,
l’opposition de nos élus aux tests expérimentaux sur ces espèces,
l’utilisation d’animaux peut s’avérer extrêmement néfaste pour notre santé.

Les effets secondaires de médicaments sont légion. Parmi les plus
dramatiques, le thalidomide a causé plus de 10 000 naissances d’enfants
souffrant de malformation des membres. La cérivastatine, récemment, a été
retirée du marché après plusieurs dizaines de morts. La liste prendrait
plusieurs pages. De façon plus générale, des millions d’humains sont
hospitalisés chaque année, des dizaines de milliers meurent, pour avoir
absorbé des médicaments testés sur des animaux, ainsi que l’a reconnu
Bernard Kouchner, secrétaire d’Etat à la Santé en France (Le Monde, 13
novembre 1997).

Le virus de la poliomyélite a été découvert en 1912. Pendant plusieurs
décennies, des études sur l’animal ont retardé les progrès. Les premiers
vaccins, toujours basés sur l’expérimentation animale, ont provoqué nombre
de paralysies et de morts. Aujourd’hui, ce vaccin est fabriqué sur des
cellules humaines en culture.

Fumer était considéré comme non nocif, suite à des tests sur des animaux.
L’épidémiologie a aujourd’hui démontré le lien entre tabagisme, même passif,
et cancer des poumons. L’amiante est un exemple similaire.

Nombre de techniques chirurgicales mises au point sur des animaux ont
handicapé ou tué des patients humains.

La mise sur le marché de nombre de bons médicaments a aussi été retardée
parce qu’ils se révélaient dangereux pour les animaux, alors que ces effets
ne s’observaient pas chez l’homme. Des patients ont ainsi été privés de
traitements efficaces. La pénicilline, par exemple, est inefficace chez le
lapin. Elle a été mise de côté pendant des années, avant qu’on ne
s’aperçoive, par hasard et non grâce à l’étude sur d’autres animaux, qu’elle
pouvait sauver des hommes.

"Avant tout, ne pas nuire", nombre de chercheurs qui utilisent les animaux
ont ignoré ce précepte. Cependant, bien des découvertes médicales
primordiales se sont faites sans recours à l’expérimentation animale,
notamment :

Découverte de la quinine, de l’aspirine, de la pénicilline.

Découverte du mécanisme de transmission du virus du sida.

Interprétation du code génétique et utilisation des données du séquençage du
génome humain pour accélérer la découverte de médicaments.

Découverte du circuit de la circulation sanguine et des groupes sanguins.

Découverte des rayons X.

Or, des scientifiques de renom continuent à pratiquer l’expérimentation
animale bien qu’elle ne soit pas nécessaire. C’est que le scientifique de
renom a acquis sa renommée en publiant beaucoup d’articles et il lui serait
très pénible, après avoir consacré sa vie à des recherches sur des animaux,
d’admettre que ces recherches n’ont pas apporté grand-chose à l’humanité, ou
pire, qu’elles ont mis en danger la santé des humains. Reconnaître ses
erreurs et en tirer des leçons demande du courage. Plus que de courage,
d’autres manquent de clairvoyance : absorbés dans leurs recherches, ils ne
songent pas à l’intérêt de leurs travaux. Ils suivent la tradition,
culturelle ininterrompue, sans se préoccuper des possibles, ou impossibles,
applications de leurs découvertes pour l’intérêt des autres humains.

Le salaire, la sécurité de l’emploi, autre raison de se taire. En France, au
sein même du CNRS, des chercheurs authentiques, ayant mis au point des
techniques innovantes, mais allant à l’encontre des intérêts des
fournisseurs d’animaux et des groupes pharmaceutiques, se sont vu confinés
dans un bureau exigu, sans paillasse et sans crédits.

La célébrité, encore une motivation. Comment se faire un nom ? En publiant
beaucoup. Pour les moins scrupuleux, une méthode courante consiste à prendre
des résultats existants, refaire les expériences sur une autre espèce,
apporter quelques changements au protocole et écrire un nouvel article. Les
chercheurs qui publient le plus reçoivent plus d’argent et peuvent faire
plus d’expériences. Peu de grains de sable viennent gripper l’engrenage.
Prenons l’exemple d’une multinationale pharmaceutique. Plus il y a de tests
réalisés, plus il y aura de médicaments mis sur le marché, plus il y aura de
revenus, plus le laboratoire aura les moyens de financer la propagande pour
ses produits, touchant même le grand public par le biais d’annonces, très
rassurantes, dans les quotidiens et autres médias non spécialisés. Les
opposants à la vivisection, eux, sont souvent présentés comme de doux
rêveurs ou de dangereux extrémistes. Les petites associations n’ont pas les
moyens de se payer des annonces dans la presse et, même lorsqu’elles y
parviennent, il arrive qu’elles se voient refuser les espaces. Les magazines
ne veulent pas mécontenter des annonceurs plus puissants, source de revenus
réguliers. A l’ère de la communication, à la télé, sur tous les médias, les
informations les plus pertinentes, les plus utiles pour notre santé, ne sont
pas forcément les plus accessibles. Elles sont noyées sous un déluge
d’informations générées par ceux qui ont les moyens de faire publier ce
qu’ils veulent.


Un chercheur honnête, conscient de ses responsabilités, est défavorisé dans
le milieu de ses pairs. Les directeurs de revues spécialisées sont très
sensibles à l’idée que la communauté scientifique se fait de ces revues. Ils
renâclent à publier des articles de chercheurs qui remettent en cause ce
chimérique modèle animal. D’où la difficulté, pour ces chercheurs, de se
faire connaître et d’obtenir des crédits.

En complément, quelques liens associatifs amis à Pro Anima :

Association pour la recherche en toxicologie
Animal Defenders International
Ligue française contre la vivisection
One Voice

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Le dernier commentaire:

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> La majorité absolue des députés européens demandent la fin des tests sur
primates
par bruce1328 (IP:xxx.x5.106.113) le 26 octobre 2007 à 17H58

Je vais être médecin dans quelques mois et je peux confirmer l’inutilité des
expérimentations sur les animaux, il existe trop de différence entre le
modèle humain et le modèle animal ... de plus l’experimentation animale est
reconnue par de nombreux scientifiques comme inutile et pourvoyeuse de
nombreux résultats trompeurs, elle est connue pour avoir fait des milliers
de victimes humaines. Des médicaments tels la Thalidomide, le Zomax et le
Distilbène, qui avaient pourtant été déclarés sans risque au vu des tests
sur les animaux, ont eu des effets catastrophiques chez les personnes qui
les ont utilisés.
Il faut savoir que selon un rapport officiel américain, plus de la moitié
des médicaments agréés entre 1976 et 1985 ont entraîné des effets
secondaires suffisamment graves pour que ces médicaments soient retirés du
marché ou qu’ils changent de nom. Et Pourtant, tous avaient été testés sur
des animaux.

Bravo aux hommes politiques qui veulent abolir cette barbarie. Il est temps que les mentalités changent.

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