-QUELQUES HABITANT DE LA VILLE
Cerf De Virginie
Les dernières hivers, plus doux qu'à l'habitude, ont favorisé l'augmentation de la population de cerfs. L'étalement urbain sur la Rive-Sud a même poussé quelques individus à traverser le fleuve à la nage, puis à se balader sur les rues Notre-Dame et Sherbrooke(Ville de Québec)pour finalement élire domicile au parc nature Poooint-aux prairies, à Montéal, ou les cervidés trouvent de la nourriture en suffisante et des conifières pour se protèger du froid. La métropole abrite, à ses deux extrémités, une centaine de cerfs de Virginie.
CASTOR
lLes barrages de castors créent des milieux humides qui favorisent la biodiversité. La présence du rongeur est donc bénéfique en ville, car elle attire oiseaux, amphibiens et reptiles. Mais pour construire ses barrages etse nourrir, l'emblème du Canada abat de 100-200 arbres chaque année. Sur les berges djè dégarnies de la ville cela peut équivaloir à une coupe à blanc. À l'abri du lynx, du coyote et de l'ours, les castors urbains mènent leur train-train quotiden sans aucun prédateur naturel à leurs trousses. Ils peuvent donc se multiplier trés rapidement et, par le fait même, transformer en un rien de temps leur milieu de vie. Pour éviter les dommagesliés à une surpopulation, on stéralise certains individus par vasectomie. La méthode est efficace, car le castor est monogame et conserve généralement la m^me partenaire toute sa vie.
RATON LAVEUR
Pour ce glouton de raton laeur, la ville est un véritable paradis. C'est pouquoi il a peuple en grand nombre. Seulement au parc du Mont Royal (Montréal) on en compte une quarantaine au kilométre carré. Tout comme le renard, le raton peut contracter et transmettre de dangereuses maladies. Certains individus sont donc capturés au moyen d'une cage, vaccinés à la main, puis munis d'une micropuce qui permettra de les retracer. Dans les quartiers résidentiels, les ratons laveurs ne se gênent pas pour renverser les poubelles quand ils veulent casser la croûte. Pour éviter les dégâts, il faut ranger ses ordures dans les contenants solides et difficiles à ouvrir, car les chats sauvages on la patte agile et la griffe acérée!
ÈCUREUIL
De plus en plus habitués à la présence humaine, les écureuils sont légion dans les grands villes. En milieu sauvage, un couple d'écureuils occupe généralement un territoire d'environ un hectare. À Montréal, à cause de l'abondance de nourriture, qui fait croître leurs population, ce sont plutôt de trois à cinq couple qui cohabitent sur un même hectare. En étudiant le comportement des écureuils urbains, deux chercheurs ont fait de fascinantes découvertes. Ils ont notamment constaté que ces bestioles, qui chachent leur nourriture un peu partout, espionnent leur congénères pour pouvoir leur voler leurs provisions. . Les malicieux rongeurs peuvent déménager le m^me gland deux ou trois fois pour duper les voleurs ptoentiels.
RENARDS
Si vous voyer passer une petite queue rousse au Jardin botanique, au Mont Royal (Montréal) ou dans un boisé urbain, c'est peut-^tre celle d'un renard! Tout comme les rapaces et les coyotes qui se cachent dans les ville, cette jolie b^te contribue à contrôler les populations d'écureuils, de marmottes et de petits rongeurs. Mais elle peut aussi véhiculer la rage...Pour éviter la propagation de la maladie, on offre à certains individus des pièces de vidand dans lequelles ont été cachés des vacins oraux.Ceux-ci se ficheront dans les gensives de l'animal quand il groquera son festin.
FAUCON PÈLERIN
Les faucons pèlerins convertis à la vie urbaine nichent sur les ponts, les carrières et dans les grattes-ciels. La colonisation des villes par ces rapaces est principalement due à l'étalement urbain. L'impiétement sur les aires de repoduction et d'alimatation de facons pélerins, notamment au mont Sainte Hilaire (Rive-sud de Montréal), a contrain plusieurs individus à exode. Regoreant de proies et de sites artificiels de nidification, la ville consitue pour eux une excellent terre d'accueil. La longévité croissante des facons pèlerins et leur nombre grandissant et milieu rubain en fourissent la prueve. Toutefois, évoluer dans la jungle urbaine n'est pas snas risque pour les oiseaux. La plupart des faucons qui reçoient des traitements véterinaire à la suite d'une blessure sont de jeunes réjetons retrouvées en milieu urbain.
PIGEONS
Présents aux quatre coins de la planète, sauf en Antarctique, les pigeons ont appris à faire bon ménage avec les béton. Leur espèce compte parmi les plus populeuses ,mais aussi parmi les plus malaimées des grandes villes. Pourtant tant qu'on ne touche pas à l'oiseau ni à ses fientes, il ne représesante pas de danger pour les humains. Sa présence massive à certain endroits peut toutefois, déranger la gent non ailée, qui n'apprcie quère recevoir des déjections sur la tête.... Pour éviter que les pigeons ne s'attroupent pas milliers dans un lieu donné, if faut avant tout s'abstenir de la nourrir.
POURQUOI ON NE DOIT PAS NOURRIR LES ANIMAUX SAUVAGES
Quand nous leur offrons à manger, les animaux sauvages n'hésitent souvent pas à s'approcher de nous pour se remplir la panse. Mais ce conctact a ses inconvénients. En nourrisantles chevreuils, par exemple surtout en hiver, on fait augmenter leur population de namère anorale, ce qui les rend plus sujets à la famine et aux maladies. De plus, à la longue, les cervidés s'habituent à l'offre de nourriture et finissent par ne plus craindre la présence humaine. Ils osent alors de plus en plus s'aventurer dans les zones habitées, ou ils peuvent endommager jardins,arbustes, arbres fruitiers et autres biens publics et privés. On les retrouve aussi plus féquemment dans les rues, ce qui augmente les risques d'accidents.
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Lun 10 Déc - 3:15