Aujourd hui le grand carnage

Aujourd' hui va débuter l' assasinat d' inombrable moutons .
Tout ca pour quoi ? La "tradition"


Des centaines de betes innocentes vont etre abatues devant de nombreux spectateur sans coeur .



Je met cet article en mémoir de ces pauvres betes qui n ont pourtant rien demandé et qui ce soir ne seront plus de ce monde a cause de la cruautée et de l égoîsme des humains . J ai honte de faire partie de la meme espece que ces gens la .

Toute cette horreur pour ENCORE ET ENCORE une putin de tradition !!

Et si tu oses dire quelque chose, c'est toi qui te fais passer pour une emm** et une intolérante parce que tu attaques une religion

Publié le 08/12/2008 à 17h17
Aïd-el-kébir: 16 % d’abattages en plus
Le bilan des sacrifices d’hier dépasse déjà celui de 2007, selon des chiffres que La Capitale a pu récolter ce lundi 8 décembre. Pour rappel, 4 sites d’abattages officiels avaient été mis sur pied par les communes bruxelloises.



> Anderlecht: aucun incident, et 305 moutons abattus. Déjà plus que l’année dernière, où 253 bêtes avaient été abattues le premier jour.
> Molenbeek: “ Ambiance festive ” avec stand de thé, et 400 moutons abattus. Plus aussi que l’an dernier.
> Bruxelles: 200 abattages.
> Schaerbeek: sans problème, 300 sacrifices.
Si on compte encore aujourd’hui quelque 150 abattages, on aura 1.400 bêtes abattues contre 1.200 l’an dernier.

Et tout ça dans une "ambiance festive", c'est formidable.
Mais dans quel monde vit-on?????

tout a fait raison
mais dans quel monde ont vit ont
et tous ca pour une tratition
ont ne pourais pas changer ca

10 déc. 2008

TURQUIE • Quand le sang des moutons souille le Bosphore

Au lendemain de la fête musulmane de l'Aïd el-Kébir (sacrifice), célébrée le 8 décembre, une partie de la presse turque a consacré sa première page à des photos de moutons ensanglantés.



"On y voit des enfants regarder ces pauvres bêtes traînées par terre avant d'être égorgées. Même le Bosphore a été souillé ! Le tout filmé par une responsable d'une association internationale de protection des animaux afin de diffuser les images dans l'Union européenne", raconte Taha Akyol dans le quotidien Milliyet.



"Je suis vraiment gêné que mon pays et ma religion soient associés à ce spectacle sanguinaire. Les journaux conservateurs semblent tous avoir ignoré ces scènes. Sans doute qu'ils n'apprécient pas non plus cela. Tant mieux.



Mais alors qu'attendent-ils pour critiquer des pratiques associant leur religion au sang ? Exode rural oblige, ce phénomène s'est urbanisé. Les injonctions de la Direction des affaires religieuses demandant de respecter les animaux à sacrifier ne sont que peu appliquées. Des mesures doivent donc être prises afin d'encadrer des pratiques qui ont par ailleurs une dimension sociale et légitime très importante."