De : Fondation Brigitte Bardot A : georges.vool@skynet.be Autre...
Sujet : Commerce de peaux de chats
FONDATION BRIGITTE BARDOT
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Peaux de chats introduites en France
Contre le commerce de toutes les fourrures
Commerce de peaux de chats… la Suisse au coeur du trafic !
L’appel a été lancé, début septembre, par l’association SOS Chats de Noiraigue, en Suisse, et il concerne le commerce de peaux de chats en Suisse et l’exportation, illicite, de ces peaux dans plusieurs pays européens… dont la France !
Téléchargez la pétition de SOS chats (Suisse) et faites la signer svp ! (PDF)
http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40135
La réaction de la Fondation Brigitte Bardot a été immédiate et l’appel de notre Présidente à la Présidente de la Confédération suisse à fait la une d’un grand quotidien. Dans cet appel, Brigitte Bardot précise : « En France, ma Fondation s’est battue pendant près de 10 ans avant d’obtenir, en janvier 2006, un arrêté interdisant « l’introduction, l’importation et la commercialisation » de peaux de chiens et de chats. Vous le savez, l’Union européenne devrait adopter, dans les tout prochains jours, un règlement qui interdira « la mise sur le marché, l’importation et l’exportation des fourrures de chats et de chiens ». La Suisse, géographiquement au coeur de l’Europe, ne doit surtout pas s’isoler, devenir la plaque tournante de ce commerce de la mort et de la souffrance. »
Peaux de chats introduites en France
La Fondation Brigitte Bardot est également intervenue auprès des ministres de l’Agriculture et de l’Économie pour que la France soutienne le nouveau règlement européen visant à interdire le commerce des peaux de chats et de chiens dans tous les États membres et qu’elle se rapproche de la Suisse afin que ce pays adopte une réglementation similaire.
Contre le commerce de toutes les fourrures
Bien sûr, notre combat ne se limite pas aux seules fourrures de chats et de chiens car, comme l’écrit Brigitte Bardot dans sa lettre à la Présidente de la Confédération suisse, « toute production de fourrure, quelle que soit l’espèce, me révolte également car le martyr d’animaux sauvages élevés intensivement dans des hangars, enfermés dans des cages, ou bien piégés dans la nature, ces millions d’animaux gazés, électrocutés, parfois écorchés vifs pour un « luxe » cruel, inutile, tout cela m’écoeure et me scandalise. »