Qu’importe la douleur de l’éléphant, les éléphantaux orphelins, l’essentiel est que le roi d’Espagne s’amuse. Ce grand amateur de corrida avait besoin d’autres sensations fortes figurez vous !
Dommage qu’une malencontreuse fracture ait privé le Roi d’Espagne d’un de ses menus plaisirs pratiqués habituellement en toute discrétion et qu’il ait fallu le rapatrier sur la terre de ses ancêtres !
Le Roi s’en remettra mais la fracture avec le peuple espagnol aura sans doute plus de mal à cicatriser pour peu qu’il ait une mémoire … d’éléphant.
Galgos torturés, toros de fuego vivants, chèvres et ânes massacrés, corridas, chasses royales, cinq millions de chômeurs espagnols méprisés… il y a décidemment quelque chose de pourri au Royaume d’Espagne.
Mais ça les défenseurs d’animaux le savaient déjà.